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Constance Belle Mare Plage s’associe au projet communautaire “Manzer Partazer”

  Constance Belle Mare Plage apporte son soutien au projet communautaire Manzer Partazer. Cette  initiative vient en aide aux nécessiteux en utilisant le surplus de nourriture non consommé à bon  escient.  Ce projet, imaginée et mise en place par Julia Venn et David Signa, consiste à récupérer de la  nourriture comestible pour ensuite la distribuer aux personnes vivant dans les poches de pauvreté,  par le biais d’ONG ou de centres communautaires. En outre, la particularité du projet Manzer Partazer est qu’il n’entraine aucun coût, mais s’appuie sur  la collaboration et les ressources des parties-prenantes. 


  Environ 1,3 milliard de tonnes d’aliments sont gaspillés chaque année à travers le  monde selon une étude de l’ONU .C’est ce constat qui a poussé la direction du Constance Belle Mare Plage à s’associer au projet  Manzer Partazer pour venir en aide aux bénéficiaires de deux ONG, notamment le Centre pour  l’éducation et le progrès des enfants handicapés (CEPEH) et Joie de Vivre.


  Isabelle Lalmahomed Mansuy, Personal Assistant au Constance Belle Mare Plage et responsable de  la coordination avec l’équipe de Manzer Partazer avance que « l’initiative Manzer Partazer vient  démontrer que l’argent n’est pas le seul déterminant pour arriver à mettre en place un projet qui a un  impact significatif auprès des bénéficiaires. Au Constance Belle Mare Plage, nous avons été séduits  par ce partenariat car non seulement cela rejoint nos efforts mis en place pour réduire le gaspillage  de nourriture dans notre établissement et nous permet aussi d’être redevables auprès de la  communauté en leur venant en aide ».  

La co-fondatrice du projet, Julia Venn, explique que le gaspillage alimentaire est néfaste non  seulement pour l’homme, mais aussi pour la société et l’environnement. « Avec David, nous avons  imaginé des solutions pour atténuer le gaspillage de nourriture en pensant à toutes ces personnes qui  n’ont rien à manger. Nous avons pensé à un processus de distribution qui n’engendrait aucun coût,  mais qui impliquerait les ressources des partenaires, notamment les donateurs et les bénéficiaires.  Aujourd’hui, nous pouvons compter sur divers partenaires, notamment les hôtels, dans cette  aventure humaine et sociale ». 




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