Le risque de violence est plus élevé chez les couples vivant en union libre. C'est ce que démontrent les résultats d'une étude commanditée par le Parliamentary Gender Caucus. Cela, pour déterminer le profil sociologique des auteurs de violence domestique.
Un autre audit a révélé que la proportion de femmes occupant les plus hautes responsabilités dans la fonction publique avait atteint 40 % en 2016. La Présidente du Parliamentary Gender Caucus, Maya Hanoomanjee, en a fait part à la presse. « Tant qu’il n’y a pas ce travail de regroupement et que malgré le fait que nous allons amender la loi comme nous le souhaitons avec autant de protection aux victimes, le problème perdura. Ce que nous voulons, c’est d’attaquer la racine du problème », affirme Maya Hanoomanjee.