Interrogé sur la position du Commissaire de Police sur la decision du DPP, Mᵉ Rouben Mooroongapillay, un des avocats de Bruneau Laurette, réagit : “S’il considère cela comme un Evil Precedent, why did not he take advice from the Attorney General’s Office and within seven days as per section 4 (5) et S.4(7) de la Bail Act? (…) To wait after seven days to make such comment is most inelegant and inappropriate. D’autant que le CP doit travailler avec le bureau du DPP pour les poursuites. Ça a tout l’air d’une mauvaise cohabitation», affirme Me Mooroongapillay.
Selon l’avocat de Bruneau Laurette, la loi permette aussi le Commissaire de Police d’aller de l’avant avec un bail review devant la Cour Suprême.
« Bail Act dire ou where the Commissioner of Police OR the Director of Public Prosecutions fails to apply to the Supreme Court within 7 days, the defendant shall forthwith be brought before the Magistrate who shall thereupon release him on bail as originally ordered by the Magistrate”. Donc li pas corek pou dire ki c’est ene mauvais precedent. Mais faudrait pas nou blier ki statement en cour le 27 Fevrier 2023 a 11.15 du représentant du DPP. Le DPP fine prend ene decision eclairee/ informed decision apres ki line analyse les 311 pages du bail proceedings ainsi ki ruling magistrat », explique Me Rouben Mooroongapillay avec beaucoup de précisions.