En Afrique du Sud, l’omniprésence du variant Omicron permet d’observer son comportement sur les personnes infectées. Netcare, l’un des plus grands groupes de santé privés du pays, avec une cinquantaine d’hôpitaux, a publié un communiqué pour faire part de ses premières constatations, avec un recul de trois semaines. Le groupe hospitalier livre des informations encourageantes.
Voilà bientôt deux semaines, le 25 novembre, l’Afrique du Sud révélait la découverte d’un nouveau variant du Covid-19 rapidement baptisé Omicron. Un mutant identifié grâce aux travaux des chercheurs sud-africains, mais dont l’origine reste inconnue.
Aujourd’hui, Omicron domine les nouvelles infections en Afrique du Sud. Responsable d’une hausse exponentielle des nouveaux cas, sa vitesse de propagation est inédite. Mais il s’agirait d’u La situation est d’ailleurs sous contrôle dans les hôpitaux du groupe.
Parmi les personnes admises, seules 10% ont besoin d’oxygène contre 100% lors des trois premières vagues. Ces remarques corroborent d’autres observations faites par des médecins généralistes ou groupes hospitaliers sud-africains.ne « forme beaucoup moins grave du Covid-19 ».